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21 septembre 2010 2 21 /09 /septembre /2010 15:17

Portrait de Plaie d'angoisse

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commentaires

H
<br /> <br /> Plaie-des-gyptes  virevolte sur les mots dans le tourbillon portraît-turé des torsions visionnaires ,Plaie-Thore dans l'avidité carnivore des couleurs en mal -estrom ,en mal extrême<br /> qui fait office d'exorcisme ! Que de délectations étourdissantes ...:)<br /> <br /> <br /> "Nous sommes des ombres" était-il écrit sur d'anciens cadrans solaires  ; l'Ombre ici est pleine de Vitalité  :)<br /> <br /> <br /> <br />
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H
<br /> <br /> Le respect de toute vie apporte-elle la vitalité ?<br /> <br /> <br /> <br />
P
<br /> <br /> Josée, périmètre indéfinissable, limites extrapolées...<br /> <br /> <br /> Ce portrait n'est en rien fermé. Il est tout le contraire... Regardez mieux...<br /> <br /> <br />  <br /> <br /> <br /> L'occlusion n'est qu'apparence première. Le cercle est totalement déchiqueté, les ouvertures sont nettes, profondes, béantes.<br /> <br /> <br /> La surface est visible, l'intérieur également et l'extérieur n'est "plus que" la liberté d'imaginer.<br /> <br /> <br />  <br /> <br /> <br /> L'angoisse ici, en ces tracés, en ces couleurs - bien que certainement douloureuse en un instant précis - n'a rien de pathologique, n'a rien de statique. n'a rien d'handicapant. Tout bouge, tout<br /> vibre, tout se remue, tout se mélange, s'affronte ou s'épouse.<br /> <br /> <br /> L'angoisse ici représentée est un moment d'existence arrachée à l'insondable de la nuit, qui devient un puits d'énergie pour le jour d'après... Ou d'avant.<br /> <br /> <br />  <br /> <br /> <br /> Mais si vous désirez en savoir un peu plus sur l'origine de ce portrait, je vous invite à vous poser sur cet article :<br /> <br /> <br /> http://www.plaiethore.com/il-y-a-des-nuits-qui-ne-ressemblent-a-aucun-de-mes-jours-3039418.html<br /> <br /> <br />  <br /> <br /> <br /> Bien à vous :)<br /> <br /> <br />  <br /> <br /> <br />  <br /> <br /> <br /> <br />
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J
<br /> <br /> Je ne parle pas aussi bien que les deux commentaires précédents, je suis plutôt handicapée dans ce domaine mais je voudrais laisser ici mon commentaire. J'ai du penser au onzième plaie d'Egypte.<br /> A l'époque il n'y avait que dix. De nos jours l'angoisse est reconnue comme quelque chose de douloureux et paralysant qu'on peut traiter en médecine. Moi aussi j'ai du penser à un portrait dont<br /> une partie est étouffée par la façon que les couleurs sont posées. Je trouve le titre et l'image en osmose et très fort, le cercle est fermé.<br /> <br /> <br /> Josée.<br /> <br /> <br /> <br />
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H
<br /> <br /> Variations d'encre autour de l'énigme d'un visage , figure des abstractions de l'intime non dévoilé ,visions de l'imaginaire qui captent à la source cachée ...<br /> <br /> <br /> Le tourment qui violente une feuille blanche accède à l'inaccessible  ; la création est intranquille ,elle surprend comme l'aube au bout de la nuit dans l'inconscience du<br /> temps qui franchit les lisières de l'ombre et de la naissance du jour ...<br /> <br /> <br />                                                                                                                          <br /> Hécate<br /> <br /> <br /> <br />
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P
<br /> <br /> Attendez un instant... Je reprends mon souffle...<br /> <br /> <br />  <br /> <br /> <br />  <br /> <br /> <br />  <br /> <br /> <br />  <br /> <br /> <br /> Vous le savez peut-être la Bête Humaine, car j'en avais fait la confidence à ma/votre Magicienne, j'ai toujours beaucoup de mal à me reconnaître sur des portraits photographiques... Les reflets<br /> d'une seule réalité sont probablement trop fades, pas suffisamment profonds, pas assez grattés pour que je puisse m'accaparer.<br /> <br /> <br />  <br /> <br /> <br /> Par contre, dans les portraits dessinés, peints ou écrits (et je suis conscient de l'honneur dont j'ai pu quelques fois bénéficier), la dimension est toute autre, la vision ne s'arrête plus aux<br /> parois troubles des fenêtres dont on veut bien laisser les volets entre-ouverts et devenir la "proie" de la perception de l'autre est une réelle aventure intérieure ; l'intime alors se fait<br /> sensible et parfois violent, mais cette aventure là a ce quelque chose de merveilleux qui fait que l'on se palpe, que l'on se sonde soi-même, en faisant le seul effort de vouloir se regarder en<br /> face, en superpositions, en perpectives, en énigmes.<br /> <br /> <br />  <br /> <br /> <br /> J'aime ce portrait. Je l'aime parce que je reconnais ce tourbillon de l'âme qui se perd dans un périmètre indéfinissable, aux limites extrapôlées, avec mes portes qui claquent, mes murs qui<br /> craquent, mes structures qui s'entremêlent, mes foetus agonisants, mes bouillies qui me forment, mes couleurs qui colèrent, mes nuances qui s'adoucissent.<br /> <br /> <br /> Oui, j'aime ce portrait.<br /> <br /> <br /> Et je n'ai toujours pas de mot pour vous dire le merci décuplé pour cela.<br /> <br /> <br /> <br />
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